La DHT, cette hormone qui fait tomber vos cheveux
Sommaire
La DHT, qu’est-ce que c’est ?
L’alopécie androgénétique, communément appelée calvitie, touche des millions d’hommes et de femmes dans le monde. Cette perte de cheveux progressive est principalement causée par une hypersensibilité des follicules pileux à une hormone appelée dihydrotestostérone, ou DHT. Comprendre le rôle de cette hormone est essentiel pour mieux appréhender les causes de la chute de cheveux et les traitements disponibles.
La DHT est une hormone « cousine » de la testostérone. Elle est produite à partir de cette dernière grâce à l’action d’une enzyme appelée 5-alpha réductase. Cette transformation a lieu principalement dans certains tissus comme la prostate, les testicules, les follicules pileux et la peau.
La testostérone et la DHT jouent un rôle clé dans le développement des caractères masculins pendant la puberté, comme la croissance de la barbe et des poils pubiens, le développement musculaire et l’apparition de la pilosité corporelle. Cependant, à l’âge adulte, une sensibilité excessive des follicules pileux à la DHT peut entraîner une perte de cheveux progressive.
Chez l’homme, les taux normaux de testostérone se situent entre 3 et 10 ng/mL pour les hommes et entre 0,15 et 0,7 ng/mL pour les femmes. Les taux normaux de DHT se situent entre 0,3 et 0,85 ng/mL pour les hommes et entre 0,006 et 0,036 ng/mL pour les femmes. Même à ces niveaux plus bas, la DHT peut provoquer une perte de cheveux chez les femmes génétiquement prédisposées.
Comment la DHT agit sur nos cheveux et provoque leur chute
Les follicules pileux possèdent à leur surface des récepteurs sur lesquels la DHT peut se fixer. Lorsque la DHT se lie à ces récepteurs, elle déclenche une série de réactions qui perturbent le cycle normal de croissance du cheveu :
- La phase de croissance du cheveu (phase anagène) se raccourcit progressivement
- Les phases de repos (catagène) et de chute (télogène) s’allongent
- Les cheveux ont moins de temps pour pousser et tombent plus rapidement
C’est ce déséquilibre graduel du cycle capillaire qui est à l’origine de l’apparition progressive de l’alopécie androgénétique. Au fil du temps, les follicules pileux rétrécissent sous l’effet de la DHT et produisent des cheveux de plus en plus fins et courts, un phénomène appelé miniaturisation. À terme, les cheveux épais et pigmentés sont transformés en un duvet fin et incolore. Les follicules finissent par devenir totalement inactifs, ne laissant que des pores vides sur le cuir chevelu.
Chez l’homme, ce processus de miniaturisation et de perte des cheveux suit un schéma caractéristique qui a été classifié par l’échelle de Norwood Hamilton :
- Recul de la ligne frontale au niveau des golfes temporaux de chaque côté du front (stades 1 à 3)
- Apparition d’une zone de dégarnissement au sommet du crâne (vertex) qui s’élargit progressivement (stades 3 à 5)
- Jonction des zones dégarnies frontale et du vertex qui s’étendent, ne laissant qu’une couronne de cheveux à l’arrière et sur les côtés du crâne (stades 6 et 7)
Chez la femme, la perte des cheveux débute généralement plus tard que chez l’homme et suit un schéma différent, classifié par l’échelle de Ludwig :
- Stade I : Éclaircissement diffus de la chevelure le long de la ligne médiane du crâne
- Stade II : Extension de la zone d’éclaircissement de part et d’autre de la ligne médiane
- Stade III : Perte de densité importante sur l’ensemble de la partie supérieure du crâne, avec persistance d’une fine frange frontale
Contrairement à l’homme, le recul des cheveux au niveau des tempes et la calvitie complète sont rares chez la femme.
Les zones du cuir chevelu touchées par l’alopécie androgénétique sont celles où les follicules pileux sont les plus sensibles à l’action de la DHT. Cette sensibilité est en grande partie génétiquement déterminée, ce qui explique le caractère héréditaire de cette condition et les variations de sa sévérité d’un individu à l’autre.
Pourquoi certaines personnes perdent leurs cheveux plus que d’autres ?
La perte de cheveux liée à l’alopécie androgénétique varie considérablement d’une personne à l’autre. Certains individus sont touchés dès la vingtaine, tandis que d’autres ne le sont que plus tardivement. De plus, l’intensité de la chute de cheveux est très variable. Deux facteurs principaux expliquent ces différences : les gènes et les hormones.
Une prédisposition génétique individuelle
L’alopécie androgénétique est une maladie influencée par de nombreux gènes. Certaines variations génétiques déterminent la sensibilité des follicules pileux à l’action néfaste de la DHT. Le gène le plus important est celui du récepteur aux androgènes (AR), situé sur le chromosome X.
Des études ont montré que les hommes possédant certaines versions du gène AR, caractérisées par exemple par un nombre réduit de répétitions de l’acide aminé glycine, ont un risque plus élevé de développer une alopécie précoce. Jusqu’à 40% du risque génétique serait lié à ces variations du gène AR. D’autres gènes impliqués dans la croissance du cheveu, comme le gène WNT10A, jouent également un rôle.
L’ensemble de ces facteurs génétiques module la réponse des follicules pileux à la DHT et explique pourquoi certaines personnes sont génétiquement plus prédisposées que d’autres à l’alopécie androgénétique.
Un déséquilibre hormonal chez les femmes
Chez certaines femmes, un excès d’androgènes appelé hyperandrogénie peut favoriser la chute des cheveux. Cet excès peut être dû à des pathologies comme le syndrome des ovaires polykystiques. De plus, après la ménopause, la diminution du taux d’œstrogènes (les hormones “femelle”) lève leur effet protecteur sur les follicules pileux qui deviennent plus sensibles à l’action de la DHT.
Les déséquilibres hormonaux liés à l’âge ou à certaines maladies aggravent donc la susceptibilité génétique à la perte des cheveux induite par les androgènes chez les femmes.
Les autres facteurs qui favorisent la chute de cheveux
En plus des gènes et des hormones, d’autres éléments influencent la santé et la croissance des cheveux :
- Le vieillissement et son effet sur les follicules pileux Avec l’âge, les follicules pileux ont tendance à rapetisser et à produire des cheveux plus fins et plus courts. Ce vieillissement naturel des follicules aggrave l’effet de la DHT et accélère la chute des cheveux chez les personnes génétiquement prédisposées.
- Le stress chronique et les carences nutritionnelles Un stress intense et prolongé peut précipiter la chute des cheveux, selon un mécanisme appelé effluvium télogène. De plus, des carences en fer, en zinc, en vitamines B ou en protéines fragilisent les cheveux et favorisent leur perte. Stress et carences agissent souvent comme des facteurs aggravants de l’alopécie androgénétique.
Les traitements pour contrer les effets de la DHT sur nos cheveux
Face à l’alopécie androgénétique, de nombreuses options thérapeutiques existent aujourd’hui pour contrer les effets néfastes de la DHT sur les follicules pileux. Ces traitements agissent à différents niveaux : en réduisant la production de DHT, en bloquant son action sur les follicules ou en stimulant directement la repousse des cheveux.
Les médicaments qui réduisent la production de DHT
- Le finastéride (Propecia) et le dutastéride (Avodart) sont des inhibiteurs de la 5-alpha réductase, l’enzyme qui convertit la testostérone en DHT. Pris par voie orale, ils réduisent le taux de DHT circulant et sa concentration au niveau du cuir chevelu, stoppant ainsi la miniaturisation des follicules pileux. Le finastéride à la dose de 1 mg/jour a démontré son efficacité chez l’homme, permettant la repousse des cheveux chez 48% des patients traités. Le dutastéride, plus puissant, est utilisé à la dose de 0,5 mg/jour. Ces médicaments peuvent Cependant entraîner des effets secondaires à type de troubles sexuels (baisse de la libido, dysfonction érectile), ce qui limite leur utilisation.
- Des formulations topiques de finastéride et dutastéride sont en cours de développement pour éviter leurs effets systémiques tout en préservant leur efficacité locale. Des études ont montré qu’une solution de finastéride à 0,25% appliquée deux fois par jour était aussi efficace que la prise orale, avec moins d’effets indésirables.
Les médicaments qui bloquent l’action de la DHT sur les follicules
- La spironolactone est un anti-androgène couramment utilisé chez la femme pour traiter l’alopécie androgénétique et l’hirsutisme. En bloquant les récepteurs aux androgènes, elle s’oppose à l’effet miniaturisant de la DHT sur les follicules pileux. Prise par voie orale à la dose de 25 à 200 mg/jour, elle permet de réduire la chute et de stimuler la repousse chez 44% des femmes traitées. Son utilisation est limitée chez l’homme en raison de ses effets féminisants (gynécomastie).
- Le fluridil est un autre anti-androgène disponible sous forme de solution à 2% à appliquer localement. Il agit comme un « bouclier » qui empêche la fixation de la DHT sur les récepteurs des follicules pileux. Plusieurs études ont démontré son efficacité dans le traitement de l’alopécie androgénétique chez l’homme comme chez la femme, avec une bonne tolérance locale.
Les traitements locaux pour stimuler la repousse des cheveux
- Le minoxidil reste le traitement topique de référence de l’alopécie androgénétique. Son mécanisme d’action exact n’est pas totalement élucidé, mais il agirait comme un ouvreur des canaux potassiques, favorisant la microcirculation locale et prolongeant la phase anagène du cycle pilaire. Appliqué deux fois par jour sous forme de solution à 2% chez la femme et 5% chez l’homme, il permet d’obtenir une repousse visible dans 30 à 60% des cas après 6 à 12 mois de traitement. Il peut entraîner quelques effets secondaires locaux (irritation, démangeaisons) et doit être utilisé au long cours pour maintenir son efficacité.
- De nouvelles formulations topiques cherchent à potentialiser l’effet du minoxidil en lui associant d’autres actifs :
- Le minoxidil à 5% + solution de finastéride à 0,1% a montré une efficacité supérieure au minoxidil seul au cours d’un essai clinique de phase 3.
- Le minoxidil + acide rétinoïque (vitamine A) accélèrerait la repousse et augmenterait la densité capillaire.
- Le minoxidil + BMAO (ortho-biotinyl-l-méthionine) permettrait de maintenir le cheveu en phase anagène.
- Le minoxidil sous forme de mousse ou de spray améliorerait sa pénétration et sa biodisponibilité.
- Les injections de plasma riche en plaquettes (PRP), obtenu par centrifugation du sang du patient, apportent au cuir chevelu des facteurs de croissance qui stimulent l’activité des follicules pileux et la repousse des cheveux. Des études cliniques ont montré un gain moyen de 30 cheveux/cm2 après 3 mois de traitement. Les résultats sont souvent visibles dès la 4ème séance et se maintiennent avec des injections d’entretien tous les 6 mois.
- La photobiomodulation par laser de basse énergie (LLLT) représente une nouvelle approche non invasive et indolore pour traiter l’alopécie androgénétique. Les dispositifs à diodes lasers émettent une lumière rouge qui, en pénétrant dans le cuir chevelu, augmente localement la production d’ATP par les mitochondries, stimule la microcirculation et favorise le métabolisme des follicules pileux. Des études cliniques ont démontré l’efficacité et l’innocuité du laser Hairmax, un peigne équipé de diodes à 655 nm à utiliser 3 fois par semaine. Après 26 semaines de traitement, la densité capillaire et le nombre de cheveux en phase anagène étaient significativement augmentés. D’autres dispositifs comme l’iGrow Hair ou le casque Theradome offrent des résultats similaires.
Les compléments alimentaires et les produits naturels
- Certains compléments alimentaires peuvent être utiles en complément des traitements médicamenteux pour freiner la chute des cheveux et favoriser la repousse. Une supplémentation en vitamines du groupe B (B7 ou biotine, B6, B12), en fer et en zinc est souvent recommandée en cas de carence. La vitamine D joue également un rôle clé dans le cycle pilaire via le récepteur de la vitamine D (VDR) exprimé dans les follicules. Des études suggèrent qu’une concentration basse en vitamine D pourrait favoriser l’alopécie androgénétique.
- Des extraits de plantes sont fréquemment proposés sous forme de gélules ou de poudre pour leurs propriétés antichute et stimulante de la pousse :
- Le saw palmetto (Serenoa repens) et les pépins de courge sont réputés inhiber la 5-alpha réductase et réduire le taux de DHT.
- Le thé vert renferme des catéchines comme l’epigallocatéchine gallate (EGCG) aux effets anti-androgéniques.
- L’extrait de réglisse, riche en glabridine, augmenterait la vascularisation des follicules pileux.
- La mélatonine, la capsaïcine ou le curcuma favoriseraient la repousse en stimulant les taux circulants de facteurs de croissance (IGF-1, VEGF).
- Plusieurs produits cosmétiques anti-chute à base de plantes sont commercialisés sous forme de lotions, sérums ou shampoings, mais leur réelle efficacité clinique est souvent discutable, faute d’études sérieuses.
- Des shampoings à base d’huiles essentielles de romarin, de menthe et de thym permettraient de ralentir la chute.
- L’huile essentielle de sauge et l’extrait d’écorce de saule stimuleraient la repousse.
- L’extrait de capucine favoriserait l’ancrage du cheveu grâce à sa richesse en vitamine B.
- Des sérums renfermant du cuivre tripeptide ou du Redensyl® (extrait de lentille et thé vert) peuvent aider à densifier la chevelure.
La greffe de cheveux, une solution efficace en cas de perte importante
Lorsque l’alopécie androgénétique est déjà bien visible, la greffe de cheveux constitue la meilleure option pour restaurer durablement la chevelure. Elle consiste à prélever des follicules pileux un par un sur les zones du cuir chevelu non touchées par l’alopécie, la zone donneuse située à l’arrière du crâne, à l’aide d’un punch de 0,7 à 1 mm de diamètre, puis à les réimplanter dans les zones touchée (zones receveuses). Le prélèvement se fait aujourd’hui par la technique FUE (follicular unit extraction) où chaque greffon contient 1 à 4 cheveux et laisse une cicatrice quasi invisible. La technique DHI (direct hair implantation) permet d’implanter les greffons un par un à l’aide d’un stylo implanteur sans incision préalable pour un résultat très naturel. La greffe de cheveux permet ainsi de recouvrir de manière définitive une alopécie étendue, qu’elle soit masculine ou féminine. Elle est particulièrement recommandée chez les hommes présentant une alopécie ayant atteint les stades 3 à 6 de l’échelle de Norwood (mais cela peut varier et c’est au chirurgien de déterminer si le patient est éléigible), et chez les femmes ayant une perte de densité importante au niveau du vertex.
La greffe de cheveux en Turquie, une option plus abordable
Si la greffe capillaire reste une intervention coûteuse dans de nombreux pays, elle est devenue beaucoup plus accessible grâce au développement du tourisme médical en Turquie. De plus en plus de patients font le choix de se rendre à Istanbul pour bénéficier de l’expertise des chirurgiens turcs à un tarif compétitif.
Pourquoi de plus en plus de patients choisissent la Turquie pour leur greffe ?
La Turquie, et en particulier Istanbul, est devenue ces dernières années une destination phare pour la greffe de cheveux. Plusieurs facteurs expliquent cet engouement :
- Le savoir-faire et l’expérience des chirurgiens turcs dans le domaine de la greffe capillaire. Ils réalisent un grand nombre d’interventions chaque année et maîtrisent parfaitement les dernières techniques.
- Des cliniques spécialisées dernier cri, équipées des technologies les plus modernes et appliquant des protocoles stricts pour assurer la sécurité et le confort des patients.
- Des tarifs très attractifs, jusqu’à 70% moins chers que dans les pays d’Europe de l’Ouest, sans compromettre la qualité de la prise en charge. Cette différence s’explique par le coût de la vie et des charges moins élevé en Turquie.
- La qualité de l’accueil et des services avec des forfaits all-inclusive comprenant le transfert depuis l’aéroport, l’hébergement dans un hôtel 4 ou 5 étoiles, et l’assistance d’un interprète.
- La possibilité de combiner l’intervention avec un séjour touristique à Istanbul, ville au riche patrimoine historique et culturel.
Les avantages des cliniques capillaires turques : coûts, expertise, prise en charge
Les cliniques d’Istanbul, à l’image de celle du Dr Cinik, proposent des forfaits de greffe capillaire à prix fixe, quelle que soit l’importance de la calvitie et le nombre de greffons nécessaires. Ces packages incluent l’ensemble des prestations pour un tarif clair et transparent :
- L’intervention réalisée par un chirurgien chevronné (le Dr Cinik a plus de 25 ans d’expérience et a déjà effectué plus de 15000 greffes).
- L’utilisation des techniques les plus récentes et les moins invasives (FUE, DHI, implantation par lame Saphir…) pour un résultat naturel.
- La garantie d’une prise en charge personnalisée par une équipe francophone et un suivi post-opératoire rigoureux avec des traitements optimisant la repousse, PRP, laser ou Regenera Activa.
- Le séjour dans un hébergement haut de gamme ainsi que les transferts en véhicule privé pour un confort optimal.
Avec un tarif moyen de 2500 € pour une greffe FUE et 3000 € pour une greffe DHI, la greffe en Turquie permet de faire des économies substantielles par rapport aux cliniques européennes, sans rogner sur la qualité.
En conclusion
L’alopécie androgénétique est une forme progressive et héréditaire de perte de cheveux liée à l’action néfaste de la DHT, un dérivé de la testostérone, sur les follicules pileux génétiquement sensibles. Cette hormone raccourcit la phase de croissance du cheveu et entraîne une miniaturisation progressive des follicules touchés.
La sensibilité à la DHT dépend essentiellement de facteurs génétiques, mais peut être aggravée par des dérèglements hormonaux et d’autres facteurs comme le vieillissement ou le stress. Plusieurs traitements existent pour contrer les effets de la DHT et favoriser la repousse : médicaments anti-androgènes, solutions topiques comme le minoxidil, compléments alimentaires, PRP, laser…
Lorsque la perte de cheveux est déjà bien avancée, la greffe de cheveux constitue la solution la plus efficace pour restaurer durablement la chevelure. Cette intervention de plus en plus demandée consiste à prélever des follicules pileux résistants à la DHT sur les côtés et l’arrière du crâne, et à les réimplanter dans les zones chauves. Elle permet de retrouver une densité naturelle.
Parmi les destinations prisées pour réaliser une greffe de cheveux, la Turquie s’est imposée comme une référence. Ses cliniques spécialisées attirent une clientèle internationale en quête de soins de qualité à des tarifs compétitifs. À Istanbul, le Dr Cinik fait figure d’expert de la greffe capillaire grâce à ses 25 ans d’expérience et son sens de l’innovation. Il propose une prise en charge médicale et un accompagnement haut de gamme à des tarifs jusqu’à 3 fois inférieurs à ceux pratiqués en France.